Inculquée aux élèves depuis le collège ou même l’école primaire pour certains établissements, la littérature et plus précisément l’amour de la lecture semble s’être multipliée de nos jours. La raison fondamentale ? Le développement des nouvelles technologies qui facilitent la vie aussi bien au lecteur qu’à l’écrivain.
L’écrivain … justement parlons-en ! Si pour les lecteurs les livres sont un véritable moyen de s’évader, ils le sont deux fois plus pour les auteurs, à en croire Reda Hoballah, écrivain à succès libanais vivant en Côte d’Ivoire. Auteur des livres « On en reparle sur ton lit de mort », inspiré du décès de son père ou encore « les condoléances de l’innocence » publié aux éditions Edilivre Paris, Obala de son nom de scène ne manque pas de s’emparer de sa plume dans les moments heureux comme tristes de sa vie.
L’écriture est pour lui plus qu’un moyen d’évasion, c’est une thérapie ! Il l’a utilisée quand il a fallu qu’il surmonte le décès de son père ou encore une séparation douloureuse à un moment de sa vie.
Aujourd’hui, il dit être parfois confronté au syndrome de la feuille blanche, cette manie qui pousse à ne plus avoir d’inspiration. Mais il nous confie que ce n’est pas un drame et que tout écrivain y est confronté à un moment ou à une autre de sa vie. Dans ces périodes, il ne se force pas à écrire… il s’attelle à prendre la vie comme elle vient, avec son lot de bonnes et de moins bonnes nouvelles. Il encourage toutes les personnes passionnées d’écriture de persévérer dans leur passion et de ne jamais abandonner.
Il a terminé en nous disant que chacun de nous est un écrivain, tant qu’il arrive à matérialiser ses émotions.
Layla Nassar, contributeur PEPESOUPE à Marcory, Zone 4
LES + LUS DE LA SEMAINE
LES +RÉCENTS
Pensez-vous que les Éléphants remporteront la CAN 2023 ?
NOS ÉMISSIONS TV
RETROUVEZ-NOUS