C’est pratique, car à certains moments de la journée tout humain est assailli par un esprit de paresse. Une paresse qui l’éloigne alors de ses objectifs. La solution serait alors de prendre un pot de ” Noir ” le matin et la journée est lancée. C’est un business juteux pour celui qui en commercialise, puisque la clientèle ne semble pas vouloir s’en priver. Bien qu’il soit considéré comme une boisson pour ” bandits ”, car la plupart des consommateurs sont des jeunes travaillant dans les gares ; de ceux qui poussent les brouettes à ceux qui déchargent les ciments. Il est du coup vu du mauvais œil.
C’est la question que se pose la population. À la question, que pensez-vous de la situation ? M. Richard répond : « Nous-même, on comprend plus. La niche est là on est prêt, on attend. Pourtant, on a tout chez nous. Nous sommes dans la région du Bas Sassandra. On a le barrage de Soubré, mais on a problème de compteur ». Personne n’arrive à trouver une explication logique à la situation. Tout comme l’eau, l’électricité est importante dans le quotidien de l’homme. Les populations ne demandent qu’une chose : qu’on leur amène les compteurs qu’on leur a promis. Une promesse est une dette, mais dans ce cas la dette semble être compliquée à payer.
Habib Olagoke, contributeur Pepe Soupe à Soubré.
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