Le 25 mars 2024, Innocent William Moïse Kabré, un photographe résidant à Attécoubé, Abidjan, achète une box Canalbox auprès d’un commercial de l’entreprise. Soucieux de pouvoir l’installer rapidement avant un déplacement professionnel prévu pour le 29 mars, il sollicite une intervention express. Le commercial le redirige vers un technicien qui l’informe que la procédure doit être respectée.
Absent le 29 mars, date initialement prévue pour l’installation, Innocent reçoit un appel d’un autre technicien qui programme un rendez-vous pour le 2 ou le 3 avril, Innocent étant de retour le 1er. Malheureusement, le 2 avril, le technicien l’informe qu’il n’est plus dans la zone et qu’un autre groupe interviendra. Innocent passe la journée à attendre en vain la visite du technicien.
Le 3 avril, Innocent contacte le service client qui lui indique que son installation est désormais programmée pour le 8 avril. Exaspéré, il déplore avoir déjà perdu deux journées à attendre vainement la venue des techniciens, alors qu’il a dû payer pour ce service.
“Pourquoi doit-on vous poursuivre pour un service que nous payons à la sueur de nos efforts ?” s’insurge-t-il, regrettant de devoir “souffrir pour dépenser son argent”. Envisageant désormais de se tourner vers la Flybox d’Orange, Innocent ne cache pas son intention de retourner sa box Canalbox et de se faire rembourser.
Ce témoignage illustre les défaillances du service client de Canalbox Côte d’Ivoire, qui semble faire fi des attentes légitimes de ses clients, au détriment de la qualité de son offre et de la satisfaction de sa clientèle.