Zoundi Clarisse fait connaissance de la couture dans un centre d’alphabétisation. Elle s’inscrit dans un centre où la formation scolaire, s’arrime avec l’apprentissage d’un métier. En 2008, elle commence les cours d’alphabétisation et la formation au métier de couturière qu’elle aimait peu. Mais au fil du temps elle est séduite par la couture. Car elle faciliterait son insertion sociale professionnels. Au bout de trois années de formation acharné, elle reçoit son diplôme de fin d’études. Ainsi Clarisse s’élance à la recherche de stage en vue de développer ses acquis. Pour ce faire, elle se met en 2011 à travailler sous la direction de grandes couturières. Quelques années plus tard, Clarisse résolut de monter sa propre activité. Cela dit, dès l’entame de l’année 2021, elle ouvre son atelier de couture au quartier ORIBAT extension.
Par son savoir-faire Clarisse, confectionne des prêt-à-porter pour les femmes de différentes formes et pour les enfants. En plus, elle expose dans sa boutique d’autres articles (sac à main, parfums, mèches…). « Le plus grand inconvénient de la couture, c’est être réprimandé par la clientèle » a-t-elle affirmé. Cependant, elle ne cesse de satisfaire les clients par son art. Pour ce qui est des entrées, elle arrive à subvenir à ses besoins. De ce qui précède, elle dit le mardi 30 novembre 2021 être redevable à sa grande sœur pour l’aide financière.
Sie Josué kambou, contributeur PepeSoupe à Cocody.
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