Après les vacances scolaires, les élèves se préparent à reprendre le chemin de l’école. À l’approche donc de la rentrée des classes, tous les acteurs qui sont touchés par cette période s’activent. Annonceur, promoteurs, libraires d’établissement se bousculent pour obtenir les meilleurs marchés en matière de fournitures scolaires. Conscient de cette période qui constitue une sorte de traite pour sa branche d’activité, Malan Koffi Martial, étudiant, commerçant qui exerce dans la vente d’ouvrages littéraires et scolaires dans la rue communément appelée “librairies par terre” s’arrange pour en tirer profit. Eu égard aux offres et prix abordables qu’il propose, il est parfois débordé par la clientèle qui ne cesse de visiter son stand.
Le lundi 25 octobre 2021 à 7 heures, il était à son poste sis en face de la place publique de Léléblé dans le département de Taabo. Quand, il a accepté de parler des contours de cette activité. Selon Martial Koffi, cette période de l’année est la meilleure pour ses affaires. « J’aime bien ce moment de l’année, car c’est là que je fais les plus grands chiffres d’affaires. » A-t-il déclaré. Ce voulant discret sur ses revenus, Martial Malan Koffi a fait savoir que son secteur d’activité est rentable et ne regrette pas de s’y être investi.
Komenan Nicolas, contributeur PepeSoupe à Taabo.
Lire aussi ⬇️
DIOMANDÉ PROFITE DE LA RENTRÉE SCOLAIRE
UNE RENTRÉE SCOLAIRE TIMIDE
LA RENTRÉE SCOLAIRE, LA TRAITE DE SOUMAYLA
