Si pour de nombreuses personnes le travail est juste une source de revenu, pour d’autres, c’est avant tout une passion. Moussa Traoré fait partie de cette seconde catégorie. Ce mécanicien de moto, a toujours eu la passion pour la chose. Sur de ce qu’il voulait, il a pris la peine de se faire formé, avant de chercher à voler de ses propres ailes. C’est dans la cité du Lô Djiboua, que ce jeune homme très courtois, à commencé à arpenter les marches du métier. Chose qu’il a apprise pendant 2 ans. Après sa formation acquise avec tant d’assiduité, il reste encore 3 années supplémentaires, aux côtés de son formateur, afin d’acquérir une meilleure expérience et de se mettre à son propre compte. Chose qu’il réussit très bien.« après avoir quitté mon patron, je suis venu me chercher à Abidjan. J’étais d’abord à Bonoumin, et finalement, je me retrouve ici à la riviera 2 depuis un peu plus de 2 ans ». Fait remarquer cet homme discret et courtois.
Une qualité qui certainement attire dans son atelier. Rencontrer dans une situation délicate. En panne sous l’échangeur de la riviera 2, cet homme solliciter n’a fait aucune difficulté pour se déplacer et venir me sortir du pétrin. Avec une sollicitude exemplaire, Moussa a une fois de plus démontré sa passion du métier, qui se traduit par son amour de servir. Moussa est encore très jeune. Il n’a aucun engagement matrimonial et ni encore d’enfants. Sur cet aspect, voici ce qu’il dit ce 26 novembre 2021 avant de prendre congé de nous :« Je ne suis pas pressé. C’est important, mais je ne suis pas encore prêt ». Des paroles pleines de sagesses qui interpellent plus d’un. Fondé une famille est un gros projet qui demande de gros moyens et des sacrifices perpétuels. Il faut donc bien y être préparé avant de s’y aventurer.
Bainguié Jean-François, contributeur PepeSoupe à Cocody.
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