C’est à partir de l’université que Diaby Sali s’est lancée dans le monde de l’entrepreneuriat avec la vente de fascicule. Ayant pris goût dans cette activité, elle se lance dans la formation entrepreneuriale afin de mieux être outillée. Chemin faisant, elle a été contactée pour vendre des produits cosmétiques de la marque Ramoucka, à côté de cela, elle vendra aussi des produits qu’elle a eu à acheter au niveau du marché de Bouaké. Outre les produits de Ramouchka, Sali Diaby a décidé de vendre de la lingerie féminine, mais en y ajoutant des produits qui peuvent plaire aussi bien aux hommes qu’aux femmes tels que les parfums et savons. « Je mets beaucoup l’accent sur les produits féminins parce que les femmes aiment l’esthétique », raconte-t-elle en ce jour du mercredi 06 septembre 2021. L’étudiante en Master 2 de droit de l’homme et action humanitaire à l’université Alassane Ouattara de Bouaké, aime les nouvelles rencontres qu’elle fait à travers la vente de ses articles. Selon Sali, elle vend des produits pour traiter le corps et non des produits pour se dépigmenter. Installée au quartier commerce, non loin de la RTI, Traoré Sali a une grande ambition d’agrandir son magasin de cosmétique et d’être une entreprenante toutefois en accordant aussi une place à ses études.
Oussou Fidel, contributeur PepeSoupe à Bouaké.
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