L’atiéké (semoule de manioc) est l’un des plats les plus prisé par les ivoiriens. De la fabrication jusqu’à la commercialisation, diverses personnes interviennent dans les maillons. C’est le cas de Isabelle Kouman, une ivoirienne dans la quarantaine d’année, que nous avons rencontré le jeudi 15 juillet 2021. Elle s’est spécialisée dans la vente d’attieké depuis une dizaine d’année dans la commune de Koumassi. Cette femme qui a stoppé ses études au cours moyens deuxième année (CM2) qui a élu domicile non loin de terminus 13 dans ladite commune est mère de 2 enfants. Chaque jour, entre 7 heures et 20 heures elle est installée sous un parasol, non loin de pharmacie Godo. Pour proposer une gamme d’attieké comme « les abodjama » à sa clientèle.
Les boules sont vendues entre 100fr CFA et 500fr CFA. A côté de la vente d’attieké, madame Isabelle Kouman possède un talent dans la pédicure et manucure dont elle a débuté dans les années 2002 au marché de Marcory. Elle a pour tâche de contribuer à rendre plus éclatant le visage par des techniques de gommage chez l’homme comme chez la femme. Aussi elle fait la pédicure et la manicure. Parfois elle pause les fausses ongles à 500fr CFA et 1000fr CFA sont les montants minimum qu’il faut débourser pour bénéficier de ses services. Son sens de diversification de marchandises l’amène à vendre d’autres articles comme des chaussures, des boites de savons et des draps, avec un cout oscillant entre 1000fr CFA et 15000fr CFA. Isabelle Kouman dit mieux s’en sortir avec cette activité même si a refusé de relever des informations sur ses bénéfices. Avoir un magasin est l’une de ses préoccupations pour vendre en toute sécurité et être plus rentable.
Stephane Zougouri, contributeur PepeSoupe à Koumassi.
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