Aujourd’hui, la plupart de ceux qui font du commerce de vêtements ou encore de chaussures utilisent les réseaux pour se faire un maximum de clients. Ce 1er avril à Bouaké, capitale de la région du Gbêkê, nous avons rencontré Kouadio Emma Richmond. Elle est étudiante en master 1 de communication. Ne se limitant pas qu’aux études, elle est aussi commerçante et fait précisément du E-commerce. Sa page est dénommée DD Style (fb.com/Darius.Djea) et elle y vend un peu de tout : vêtements, chaussures, accessoires… D’après ses dires la jeunesse est plus attentive sur ce qui se trouve sur les réseaux sociaux qu’autre chose. C’est pourquoi elle a décidé de vendre ses articles en ligne.
Cela permet par exemple d’économiser en ne payant aucun loyer de magasin; de rester chez soi tout en vendant ses articles et surtout d’élargir son marché de consommation en faisant sa publicité sur les réseaux. À notre micro, elle a démenti le fait que la vente en ligne est une promenade de santé: «Lorsqu’on fait du E-commerce on doit s’attendre à perdre d’une manière ou d’une autre. Passant par de malhonnêtes fournisseurs, du manque de connexion ou encore des problèmes de réseaux.» Elle a aussi parler de ceux qu’elle appelle des «clients oiseaux», ce sont des clients qui commande un article et au moment de payer, ils disparaissent sans laisser le moindre message. «Mais on s’arme de courage pour un autre jour qui on espère sera plus meilleur que celui d’hier» disait-elle.
Michèle Djaman, contributeur PepeSoupe à Bouaké
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