Autrefois, pour réunir des personnes qui partageaient une même vision, un même but, des associations étaient créées. Aujourd’hui les réseaux sociaux ont un impact tellement fort qu’ils sont venus bousculer cette manière de voir les choses. Ce 29 mars dans la région du Hambol, plus précisément à Dabakala, nous avons fait la rencontre de Coulibaly Yacouba, étudiant en Master 2 Géographie à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. Il est administrateur d’un groupe Facebook du nom de “Dabakala ma terre natale” comptant 1300 membres à ce jour. Il a décidé de nous en dire plus au sujet de ce groupe. Il nous apprend que le groupe a été créé pour regrouper tous les ressortissants de Dabakala ou comme il le dit : «tous les Djinmini éparpillés un peu partout.» Les informations publiées dans le groupe ont un rapport avec les projets de développement de Dabakala.
Mais hormis cet aspect, il y a aussi des informations qui touchent la politique et aussi les sujets apolitiques: «On traite de presque tout dans le groupe». Il avait le choix de creer ce groupe sur d’autres réseaux sociaux mais il a choisi Facebook, à ce sujet il nous dit que Facebook a été choisi pour abriter le groupe, parce que c’est le réseau social le plus populaire: «J’avais donc plus de chance d’atteindre mon objectif à savoir : réunir le maximum de ressortissants de Dabakala possible. En gros, Facebook est plus pratique. De là, on peut retenir que même si les réseaux sociaux ont plusieurs fonctions aujourd’hui, ils continuent d’assurer le rôle pour lequel il ont été créés dès le départ : réunir les gens, briser la barrière de la distance à l’aide de la connexion internet.
Ezeckias KOUAKOU, contributeur Pepesoupe à Dabakala.
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