La culture japonaise, du fait de son authenticité et des valeurs qu’elle véhicule s’est largement répandu à travers le monde. Selon l’office national du tourisme japonais (JNTO) 31 millions de personnes auraient visité le japon en 2019, signe de l’attrait que ce pays a. Tous les moyens ont été bons pour que le japon fasse montre de sa culture, l’un de ces moyens est le manga. Nous avons trouvé Mirinah à Bouaké. Fan de culture japonaise. Mirinah, c’est le pseudo que Samassi Nourah Myriam s’est donnée en tant qu’otaku. Elle est étudiante en 3e de licence au département d’anglais de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. Elle découvre les mangas et donc la culture japonaise avec l’aide son père. Elle y prend gout, elle tombe amoureuse. Sa manière d’en parler en dit long sur ce que l’anime « mon caractère est beaucoup inspiré d’eux (…) je trouve qu’ils sont exemplaires dans leur manière de fonctionner, même les méchants dans les animer » nous disait-elle sur un ton enjoué.
Depuis cette découverte, Mirinah a lu des mangas et vu beaucoup d’animé. Elle a choisi le département d’anglais pour apprendre plus de langue et devenir doubleuse de voix de personnages mangas, elle a appris à dessiner, à faire des cosplays qui lui ont valu de remporter des trophées. Nourah partage sa passion pour la culture japonaise à travers ses réseaux sociaux : Mirinah_desu et Mirinah store où elle vend des articles liés à la japanime. Certains trophées qu’elle a remportés ont été pour des compétitions en ligne. C’est aussi grâce à internet qu’elle peut laisser libre cours à sa passion.
Cédric Amani, contributeur PepeSoupe à Bouaké.
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