En ces temps où les populations sont préoccupées par les moyens de se protéger efficacement du coronavirus, d’autres moins soucieux du danger que représente ce virus, trouvent encore la force de s’illustrer de la plus mauvaise des manières. C’est le cas de D.Y, 22 ans, mécanicien, de S.S, 23 ans, frigoriste, de D.N, 20 ans, sans emploi et de O.L, mécanicien et 3 autres de leurs complices qui ont commis un viol collectif sur S.M une commerçante mineure âgée de 17 ans.
Cet événement dramatique, s’est passé dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 mars 2020 au quartier Gnamienakakro de Bouaké. Après avoir opéré ce ‘’hold-up sexuel’’, les malfrats ont tenté de s’évanouir dans la nature. Cependant, informés de l’affaire dans la matinée du dimanche pour une plainte portée par la victime et ses parents, les agents de police du 3ème arrondissement de la ville se sont mis à la leur recherche. Dans la foulée, quatre des 7 violeurs sont interpellés et mis aux arrêts.
Ainsi, formellement identifié par la victime comme faisant partie des violeurs, les jeunes gens sont passés aussitôt aux aveux en reconnaissant être les auteurs du viol. Malgré ce beau coup de filet des éléments du 3ème arrondissement, 3 des 7 violeurs sont encore en fuite. Ceux-ci sont activement recherchés par les services de la police. Une fois mis aux arrêts, ces derniers répondront de leur acte.