Le pain est l’aliment le plus usé dans le petit-déjeuner. Très souvent utilisé pour les accompagnements de petits plats à l’entrée ou au dessert. Pour plusieurs d’entre nous, c’est le support naturel du « pain maka ». Toujours présent devant les écoles primaires publiques pour l’encart des tous petits à la récréation. Comment parvient-il de la boulangerie à la boutique ? Comment parvient-il de la boutique à l’étale de la vendeuse ? Dans quel état le pain arrive tout simplement dans notre bouche ? PepeSoupe votre organe d’information de proximité attire l’attention de tous sur un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur sous nos yeux. C’est un sujet d’hygiène publique. La poussière, la fumée de l’échappement des voitures, de la moto même de transport, la sueur du conducteur…
Toujours présent devant les écoles primaires publiques pour l’encart des tous petits à la récréation. Jonchées sur des motocyclettes, des jeunes gens se faufilent entre les voitures avant d’atteindre nos ruelles et de livrer le pain. La poussière, la fumée de l’échappement des voitures, de la moto même de transport, la sueur du conducteur .Tous ces éléments nocifs à la santé affluent sur notre pain quotidien. L’un mit l’un dans l’autre, c’est ce qu’il nous a été donné de constater dans la commune de Marcory le 6 septembre 2021 aux abords du groupe scolaire public Marcory TSF. Boulangers et boulangères, vendeuses de « pain Maka » et associés, consommateur et autorités, il y a va de la santé de tous, individuellement et collectivement.
Alfred Taho, contributeur PepeSoupe à Marcory.
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