Face au pouvoir, les gens ont deux façons de voir les choses. Il y a en premier lieu, ceux qui voient le pouvoir comme un moyen de faire ce qu’ils veulent, de jouir de certains privilèges que les autres n’ont pas. Et en second lieu, ceux qui voient au pouvoir, les responsabilités, les tâches et le fait d’agir pour le bien d’un collectif. C’est à ces derniers-là que les grands pouvoirs devraient être confiés. Car que ce soit dans le cadre d’une entreprise, d’un établissement, d’un pays, l’entité dirigée sera toujours à l’image de son dirigeant. Nous sommes à Agboville, plus précisément au Collège d’Enseignement Technique d’Agboville (CET d’Agboville). Ce 1er février, nous faisons la rencontre de Madame Konan, directrice du CET d’Agboville.
Avant d’arriver au stade de directrice d’établissement technique, elle a eu un parcours très reluisant. D’abord professeur d’anglais au CBCG de Cocody, puis censeur chargé des stages avant d’être directrice dans un Centre d’enseignement Technique à Koumassi. C’est en 2013 qu’elle a été nommée directrice du Centre d’Enseignement Technique Féminin de Bouaké, où son travail a été gratifié par un prix d’excellence de la part du Président de la République. En 2019, elle est nommée directrice du CET d’Agboville. Dans sa tâche, elle met l’accent sur la communication. En effet, pour Madame Konan, tout part de la gestion humaine. Car elle croit au fait que, s’il y a la cohésion entre elle et tous ses collaborateurs (enseignants, personnels du centre, élèves), son objectif de rendre le CET d’Agboville le meilleur établissement de l’Agneby Tiassa sera atteint.
Ézéchias Kouakou, contributeur PepeSoupe à Agboville.
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