<<Relation ou on te cache comme grossesse de touareg la, quitte de dans>>. C’est ainsi qu’il traduit dans le langage ivoirien son couplet dans la chanson ”Tu as mis dans quoi?” de la Team Paya en collaboration avec Didi B. Avec ses 493 100 abonnés, Momo Hayek, un créateur de contenu sur TikTok d’origine libano-ivoirienne, a su conquérir le cœur des Ivoiriens en s’immergeant profondément dans leur culture, de leur argot à leur amour pour la gastronomie locale. Avec ses vidéos souvent humoristiques, il captive un large public, récoltant jusqu’à 3,4 millions de vues par vidéo.
Mais ce n’est pas seulement son talent pour l’humour qui a propulsé Momo Hayek sous les feux de la rampe. Son association avec la “Team Paya”, un groupe d’artistes jeunes et talentueux très en vogue en Côte d’Ivoire, a contribué à accroître sa notoriété. La “Team Paya” est célèbre pour ses hits musicaux qui font danser les Ivoiriens dans toutes les rues, et Momo Hayek a ajouté sa touche personnelle à ce phénomène avec sa participation remarquée sur le morceau “Coup du Marteau”, qui a enflammé les foules pendant la Coupe d’Afrique des Nations.
Ce n’est pas seulement son association avec la “Team Paya” qui a impressionné les fans, mais aussi son profond attachement à la culture ivoirienne. En se mêlant aux artistes locaux et en contribuant à la scène musicale du pays, il a gagné le respect et l’affection du public ivoirien.
Au-delà de sa présence sur les réseaux sociaux, Momo Hayek est également le frère de Hassan Hayek, un influenceur libano-ivoirien engagé dans des actions sociales en Côte d’Ivoire. Cette connexion familiale renforce son lien avec le pays et sa communauté, lui permettant de s’impliquer davantage dans des projets bénéfiques pour la société.
En conclusion, Momo Hayek incarne la fusion harmonieuse entre ses racines libanaises et son amour pour la Côte d’Ivoire. Son humour, sa participation à la musique locale et son engagement envers la culture ivoirienne font de lui une figure appréciée et respectée dans le paysage médiatique ivoirien.
La Rédaction.
