Il y a des personnes pour qui le travail est un devoir. Un véritable sacerdoce qu’ils portent fièrement sur leurs épaules une fois à la tâche. Des personnes pleines de valeurs, et qui font au-delà de leurs familles, la fierté républicaine. À Cocody, précisément au carrefour de l’école de police, il y a le sergent Chef Kossonou. Policier, il est régulièrement en charge de la circulation. Pour les habitués de cette voie, ils reconnaîtront certainement ce monsieur.
En matinée comme en début de soirée, le sergent Chef Kossonou est au four et au moulin. Avec ses collaborateurs à ses côtés, il essaie de faire de son mieux en facilitant la circulation. À le voir travailler, on a tout de suite envie de devenir policier. Rigoureux, il contrôle de main de maître son élément. Avec courtoisie, il échange et oriente les usagers de la route. Surtout aux heures de pointe.
On a l’impression qu’il ne s’épuise jamais.
Notre curiosité nous a amené à échanger avec ce professionnel modèle, afin de savoir comment il s’y Prend. Ce 29 octobre autour de 11 heures, il nous a édifié sur son sens du devoir.
Pour monsieur Kossonou, personne n’a été contraint de faire son choix de travail. Comme une épouse, chacun devrait l’aimer de son mieux. C’est seulement ainsi qu’on pourrait obtenir de meilleurs fruits. Et lui, c’est cet amour qu’il a pour son travail, qui fait que pepesoupe est venu vers lui. C’est pour lui un signe de reconnaissance qui le condamne à faire mieux.
Le sergent chef Kossonou, de par son dévouement à la tâche et son devoir républicain, enlève un temps soit peu, le discrédit sur sa corporation, du fait de certains mauvais individus. Mais grâce à des agents comme lui, la police nationale compte des valeurs sûres.
Bainguié Jean-François, contributeur pepesoupe à Cocody