Le 20 mars 2024, aux alentours de 23h30, un événement inattendu a frappé le tunnel d’Abobo, perturbant brusquement la tranquillité de la nuit. Un camion a endommagé le système de câblage électrique crucial du tunnel. Ce camion de type semi-remorque se dirigeait du rond-point Anador vers Gagnoa gare lorsqu’il a rencontré un incident aux conséquences lourdes.
L’impact a été instantanément ressenti, plongeant le tunnel dans une obscurité totale. Les lumières habituelles qui guident les voyageurs à travers ce passage vital ont été soudainement éteintes, laissant les automobilistes dans l’incertitude et le danger.
L’accident a été causé par le camion, dont le poids massif a probablement provoqué des dommages considérables au câblage électrique lors de son passage. Les câbles sectionnés gisaient sur le sol, témoins muets de la catastrophe qui s’est produite.
Face à cette situation critique, les autorités compétentes ont été immédiatement alertées et sont intervenues sur les lieux. Le camion impliqué dans l’accident, ainsi que son conducteur, ont été pris en charge par les services d’urgence pour évaluer les dégâts et prendre les mesures nécessaires.
L’obscurité qui règne désormais dans le tunnel d’Abobo soulève des préoccupations majeures pour la sécurité des usagers de la route. Sans l’éclairage adéquat, la navigation à travers le tunnel devient extrêmement périlleuse, augmentant le risque d’accidents et de blessures.
Les équipes techniques sont actuellement mobilisées pour évaluer l’étendue des dommages et entreprendre les réparations nécessaires afin de rétablir l’éclairage dans le tunnel d’Abobo. Cependant, il est probable que cette tâche ne soit pas réalisée sans difficultés, et il faudra peut-être un certain temps avant que la situation ne revienne à la normale.
En attendant, les automobilistes et les résidents locaux sont invités à faire preuve d’une extrême prudence lors de leurs déplacements dans la région, en tenant compte des conditions de conduite altérées par cette panne d’électricité imprévue dans le tunnel d’Abobo.