Étudiante en Master des lettres modernes et “business woman”, mademoiselle Ekanza Agathe a ouvert il y a quelque semaine au sein du marché du quartier N’Dakro une boutique de ventes d’articles divers tels que des gaines, des sacs à mains ,des mules des chemises pour Hommes, de la lingerie pour femme et d’autres accessoires de beauté. Dans son nouveau local, elle fait des prestations de services tels que la pédicure, la manucure, les soins de visage , la pose d’ongle, etc… Dans 1 an elle a pour objectif de multiplier les magasin dans la ville et elle veux allez même s’implanter dans les autres villes du pays surtout au centre hors mis d’Abidjan car pour elle le marché de cette ville est assez saturé.

« Comme problème majeur nous avons la mairie, en effet pour un petit marché local les taxes sont trop, nous soupçonnons d’ailleurs une arnaque en dessous car selon les information que nous avons reçu au départ, les taxes ne pourront pas excéder 3000 fcfa parce que ce marché il est un marché local, et pas assez fréquenté, mais fort est de constater que ceux qui viennent encaisser exige plus, voir plus chers que les taxes prélevés au marché général de Bouaké et cela pénalise et décourage bon nombre de personne qui démissionne et abandonne leur business » Dixit mademoiselle Ekanza le dimanche 03 juillet 2021.
Aicha Koné, contributrice externe PepeSoupe à Bouake.
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